Observatoire des tout-petits

Logement et quartiers

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Prises de parole

Il est indéniable que la crise du logement affecte particulièrement les personnes issues de groupes marginalisés, déjà plus susceptibles d’être discriminées lorsque vient le temps d’interagir avec un proprié­­taire. Autochtones, familles monoparentales, femmes, jeunes (...) ont beaucoup plus de difficulté à se trouver un toit à un coût qu’il leur est possible d’assumer.
Spencer C. Nault et Mélanie Baril
Respectivement administrateur à l’Association des juristes progressistes et présidente du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ), et cosignée par près de 400 individus ou organismes
19 février 2025
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Il est préoccupant de constater que, pour une proportion importante de familles avec des tout-petits, répondre à leurs besoins de base représente un défi. Près de 20 % des familles avec de jeunes enfants vivent en situation d’insécurité alimentaire. Le logement, un autre pilier du bien-être des tout-petits, est également en crise.
Julie Cailliau
Directrice de l'Observatoire des tout-petits
13 novembre 2024
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Les conséquences de la malnutrition sur la santé et sur le développement des jeunes enfants sont maintenant bien connues, mais qu’en est-il du mal-logement? Qu’arrive-t-il quand un tout-petit doit vivre dans un endroit trop petit pour sa famille, insalubre, ou tout simplement trop cher pour ses parents?
Julie Cailliau
Directrice de l'Observatoire des tout-petits
23 mars 2024
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Il y a de quoi être préoccupé, quand on sait que les enfants qui grandissent dans des ménages à faible revenu sont plus susceptibles d’être vulnérables lors de leur entrée à l’école; que ceux qui souffrent d’insécurité alimentaire sont plus à risque de présenter des retards sur le plan du développement cognitif, moteur et neurophysiologique; que ceux qui vivent dans un logement qui n’est pas adapté aux besoins de leur famille, parce qu’il est trop petit ou trop cher, sont plus susceptibles de moins bien réussir à l’école et de subir de la maltraitance.
Julie Cailliau
Directrice de l'Observatoire des tout-petits
22 novembre 2023
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Les quartiers qui ont un plus haut degré de défavorisation socioéconomique, on pense par exemple à la Pointe de l’Île, Parc-Extension, Hochelaga-Maisonneuve, ce sont des quartiers où il y a moins de verdure, plus d’îlots de chaleur, donc plus de conséquences liées à la chaleur extrême
Dre Claudel Pétrin-Desrosiers
Présidente de l’Association québécoise des médecins pour l'environnement
2 juin 2023
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